Les diverses facettes de la conscience 1
L'exploration des espaces inconscients par le biais des plantes sacrées est imprévisible.
Heureusement car nul n'entreprendrait de tels voyages en sachant d'avance où le chemin nous conduirait. Car ce n'est pas toujours facile loin de là. D'où le besoin de courage, la force de faire face à ses peurs.
L'idée n'est pas de se battre contre la noirceur, seulement d'y apporter de la lumière et la noirceur disparaitra sans effort, naturellement. Mais il faut risquer et plonger dedans. L'important conssite à rester présent quand les poches de lourdeur et de noirceur émergent. Il faut dompter ces espaces qui nous font habituellement fuir. Dompter mais en mêem temps s'y abandonner. Pas toujours facile mais inévitable car lorsque nous serons confrontés à la mort, il se peut que ces espaces reviendront nous hanter si on ne les rencontre pas auparavant.
Et l'ayahuasca est appellée la liane de la mort jsutement pour cette raison : elle nous permet de faire face à cette mort qui nous apeure tellement tout au long de cette vie. La mort, cette peur fondamentale qui nous pousse à courir vite vite vite par en avant, sans chercher à rencontrer les ombres qui nous poursuivent. Pourtant ces ombres ne sont pas si menaçantes quand on prend le temps de leur faire face. A contraire, si on les fuit, elles s'enflent, grossissent et viennent jusqu'à nous poursuivre dans notre sommeil. Notre vie est alors teintée de peur, tout ce que l'on fait est fondé sur cette peur.
à suivre...
Heureusement car nul n'entreprendrait de tels voyages en sachant d'avance où le chemin nous conduirait. Car ce n'est pas toujours facile loin de là. D'où le besoin de courage, la force de faire face à ses peurs.
L'idée n'est pas de se battre contre la noirceur, seulement d'y apporter de la lumière et la noirceur disparaitra sans effort, naturellement. Mais il faut risquer et plonger dedans. L'important conssite à rester présent quand les poches de lourdeur et de noirceur émergent. Il faut dompter ces espaces qui nous font habituellement fuir. Dompter mais en mêem temps s'y abandonner. Pas toujours facile mais inévitable car lorsque nous serons confrontés à la mort, il se peut que ces espaces reviendront nous hanter si on ne les rencontre pas auparavant.
Et l'ayahuasca est appellée la liane de la mort jsutement pour cette raison : elle nous permet de faire face à cette mort qui nous apeure tellement tout au long de cette vie. La mort, cette peur fondamentale qui nous pousse à courir vite vite vite par en avant, sans chercher à rencontrer les ombres qui nous poursuivent. Pourtant ces ombres ne sont pas si menaçantes quand on prend le temps de leur faire face. A contraire, si on les fuit, elles s'enflent, grossissent et viennent jusqu'à nous poursuivre dans notre sommeil. Notre vie est alors teintée de peur, tout ce que l'on fait est fondé sur cette peur.
à suivre...